Recherche par auteur : Barthes, Roland
5 résultats.
Lu par : Elisabeth Celton
Durée : 6h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 75184
Résumé:Essai paru à l'origine en 1977 où l'auteur, mêlant sa réflexion et ses expériences à sa réception d'oeuvres artistiques, construit des notices rassemblées dans de courts chapitres pour donner vie et consistance au discours amoureux en relation avec le langage. Tirage limité.
Lu par : Michel Guesdon
Durée : 2h. 45min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 27911
Résumé:Le journal intime écrit par Roland Barthes dans les mois qui ont suivis la mort de sa mère, l'être cher par-dessus tout, en automne 1977. La Chambre claire évoquait déjà largement ce deuil douloureux, qui transforme complètement le regard de Barthes sur la photographie, désormais vu comme le lieu d'une possible résurrection de l'être perdu. Ici, nous sommes tout à la fois dans un constat détaillé et dans une interrogation intime et philosophique du deuil, absolument singulier, impartageable. Cet inédit est une pièce décisive dans la compréhension de Roland Barthes, qui aura vécu toute sa vie auprès de sa mère et ne lui aura survécu que trois ans, les années de l'impossible deuil. Un document émouvant, rédigé au jour le jour en brefs fragments qui, comme toujours chez Barthes, dépassent l'expérience personnelle pour toucher à l'universel. Nous sommes tous porteurs d'un deuil, et celui-ci nous touche, nous éclaire.
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 53min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14180
Résumé:Pourquoi le Japon ? Parce que c'est le pays de l'écriture : de tous les pays que l'auteur a pu connaître, le Japon est celui où il a rencontré le travail du signe le plus proche de ses convictions et de ses fantasmes, ou, si l'on préfère, le plus éloigné des dégoûts, des irritations et des refus que suscite en lui la sémiocratie occidentale. Le signe japonais est fort : admirablement réglé, agencé, affiché, jamais naturalisé ou rationalisé. Le signe japonais est vide : son signifié fuit, point de dieu, de vérité, de morale au fond de ces signifiants qui règnent sans contrepartie. Et surtout, la qualité supérieure de ce signe, la noblesse de son affirmation et la grâce érotique dont il se dessine sont apposées partout, sur les objets et sur les conduites les plus futiles, celles que nous renvoyons ordinairement dans l'insignifiance ou la vulgarité. Le lieu du signe ne sera donc pas cherché ici du côté de ses domaines institutionnels : il ne sera question ni d'art, ni de folklore, ni même de " civilisation " (on n'opposera pas le Japon féodal au Japon technique). Il sera question de la ville, du magasin, du théâtre, de la politesse, des jardins, de la violence ; il sera question de quelques gestes, de quelques nourritures, de quelques poèmes ; il sera question des visages, des yeux et des pinceaux avec quoi tout cela s'écrit mais ne se peint pas.
Lu par : Daniel Mesguich
Durée : 3h. 32min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 37039
Résumé:Une tentative de comprendre la puissance émotionnelle de la photographie et de définir la nature de cet art. Cela amène l'auteur à évoquer le traumatisme que fut le décès de sa mère
Lu par : Jean-Louis Lesaint
Durée : 8h. 54min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65558
Résumé:Quatrième de couverture: Mythologies Notre vie quotidienne se nourrit de mythes : le catch, le strip-tease, l'auto, la publicité, le tourisme... qui bientôt nous débordent. Isolés de l'actualité qui les fait naître, l'abus idéologique qu'ils recèlent apparaît soudain. Roland Barthes en rend compte ici avec le souci - formulé dans l'essai sur le mythe aujourd'hui qui clôt l'ouvrage - de réconcilier le réel et les hommes, la description et l'explication, l'objet et le savoir. «Nous voguons sans cesse entre l'objet et sa démystification, impuissants à rendre sa totalité : car si nous pénétrons l'objet, nous le libérons mais nous le détruisons ; et si nous lui laissons son poids, nous le respectons, mais nous le restituons encore mystifié. » Roland Barthes